Sources: http://www.azurever.com/paris/magazine/paris_verte.php3 et http://www.promenades92.fr/jardins-albert-kahn
Que vous soyez un amoureux transi de la nature ou un simple être humain en quête de quiétude, le 12ème arrondissement de Paris vous subjuguera certainement par sa promenade plantée.
La promenade plantée : c’est l’endroit idéal pour une balade inoubliable ou pour un agréable jogging dans Paris.
Elle commence derrière l’opéra Bastille, passe par l’avenue Daumesnil pour aboutir dans le jardin de Reuilly.
La balade continue ensuite dans l’allée de Vivaldi où on peut se restaurer pour continuer la flânerie dans les tunnels et finalement pour finir sa course devant la porte dorée et le bois de Vincennes.
La promenade plantée s’étend donc sur une demi-dizaine de kilomètres sur tout le 12ème arrondissement. Elle traverse une ancienne voie ferrée qui n’a plus été utilisée depuis 1969.
Passez également faire une petite excursion dans le parc des Buttes-Chaumont, ce somptueux jardin construit en 1864.
Vous serez fasciné par son charme idyllique ressemblant à un paysage campagnard en plein cœur de la ville.
On y trouve des lacs, des ruisseaux, des temples, des grottes, des cascades, … bref, un véritable petit coin de paradis.
Le 6ème arrondissement renferme pareillement un endroit authentique où règnera dans quelques temps verdure et sérénité.
On parle ici du parc qui actuellement est en pleine voie de construction : il a été inspiré du jardin de l’Hôtel d’Aumont, du square Albert Schweitzer et du parking de la Cité des Arts.
L’espace prévu pour le parc est de 5000 milles mètre carré environ est sera ouvert au public d’ici 2011.
Qui n'a jamais rêvé de verdure en guise de toit au-dessus des blocs d'immeubles Haussmanniens.
Joggers citadins, amoureux de la nature, dénicheurs de lieux à part, le rêve est réalité et la réalité à un nom : la coulée verte.
Ce jardin inattendu et presque suspendu débute à la Bastille et prend fin à gare de Lyon avec l'apogée le parc de Reuilly !
Ancienne voie de chemin de fer, la coulée verte est le toit des arcades dédiées à l'artisanat. Sous les rosiers, les bancs en bois et le vert, des artisans en meubles d'art, design, souffleurs de verre, cadreurs... Incroyable !
Une bouffée d'oxygène traversant la ville, dominant la route, ce couloir à ciel ouvert est long de 3 kilomètres.
C'est un lieu à découvrir et à vivre au quotidien pour un jogging, une balade, ou comme trottoir où le bitume et les poteaux électriques font place à la nature.
Métro : Bastille (ligne 1 - 5 - 8 )
LECANALSAINTMARTIN
En longeant ses pavés et la quiétude de ses eaux vertes, on traverse Paris de Jaurès à la Bastille. Chaque écluse est une invitation à rêver à son fabuleux destin...
Ah...le canal Saint Martin, Amélie Poulain, des balades main dans la main, au fond des corps humains...
Les légendes du canal Saint Martin sont aussi épaisses que ses eaux. C'est d'ailleurs, il faut bien l'avouer, ce qui en fait son charme.
Il y a aussi, ami de la poésie, la féerie du lieu...les eaux tranquilles qui se laissent caresser par le soleil, le vent, les ricochés.
Vous sur le pont de pierre, dominant cette verte dame opiniâtre à l'idée de vous ouvrir le secret de ses nuits.
Pour cela il faudra attendre l'assèchement annuel du canal...tout un programme (les puces sont ouvertes : voitures, machines à laver, suicidés (qu'on aurait poussé ?)!
C'est cette atmosphère particulière qui fait que, bien que bordée de 2 rues, on n'a pas le sentiment d'être à la capitale, au bord de ce canal.
Le Canal saint martin
Métro : Jaurès (ligne 2 - 5 - 7 )
LEPARCGEORGESBRASSENS
Visitez le pour le plaisir de vos 5 sens !
Ecouter : la rivière coule et roule sur les pierres ; le serin cini et son couplet à 2 ou 3 cris aigus percent le silence.
Regarder : les couleurs, les fleurs, les visiteurs, l'art ! Quelques statues dont celle du buste de Georges Brassens, oeuvre d'André Greck.
Toucher : le bois du petit pont, l'herbe, l'écorce des arbres et plus étonnant, l'étiquetage en braille du jardin des plantes aromatiques et médicinales.
Sentir : des parfums en liberté ! Chèvrefeuille, jasmin, roses !
Goûter : C'est là le hic et mon petit mensonge: Pas de fruitiers à l'horizon... pour que tous vos sens soient en éveil, penser à remplir votre panier gourmand avant les portes d'entrée.
Si vous souhaitez visiter la coulée verte lors de votre voyage en groupe, cliquez sur Devis Groupes
Métro : Convention ou Porte de Vanves Ouverture : 8h en semaine / 9h le week end Fermeture : elle varie selon la saison de 17h30 et 21h30 Balade guidée dans le Paris vert: http://www.curiocites.com/96-balade-du-paris-vert-ecologie-developpement-durable.html Jardin et Musée Albert Kahn 14, rue du Port, 92100 Boulogne-Billancourt Accueil : 01 55 19 28 00 Œuvres d'art du musée départemental, les jardins Albert Kahn nous convient à un véritable tour du monde des arbres, arbustes et fleurs. Ces jardins de tous les continents – Europe, Amérique, Afrique, Océanie et Asie – sont réunis sur le site grâce aux traditions qui les inspirent. Ils invitent le visiteur à un voyage autour du monde. Le village japonais et le jardin japonais contemporain Le jardin japonais a été créé à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, à l'occasion des voyages d'Albert Kahn au Japon. Il comprend aujourd'hui un "village" bâti par des artisans japonais venus spécialement le réaliser. Pour ce faire, Albert Kahn fit livrer en pièces détachées les deux maisons d'habitation et des végétaux japonais dont une collection de bonsaïs. Le jardin contemporain a remplacé en 1990 une partie des anciens jardins. Le paysagiste Fumiaki Takano y a néanmoins conservé le pont rouge et le portique donnant sur le verger. Ce nouveau jardin symbolise la vie et l'oeuvre d'Albert Kahn, de sa naissance à sa mort, ainsi que ses liens d'amitié avec le Japon. L'eau y est omniprésente. D'autres évocations du Japon sont présentes comme la montagne aux azalées qui représente le mont Fuji. Le jardin français En 1895, Albert Kahn fait appel aux prestigieux paysagistes Henri et Achille Duchêne pour dessiner le jardin français et le verger-roseraie. La roseraie est un hommage à l'art du jardin de la Renaissance et le jardin français au classicisme du XVIIe siècle. La pelouse rectangulaire, ornée de broderies dans les angles, est ceinturée de plates-bandes de fleurs saisonnières. Des rangées de tilleuls et de marronniers taillés en rideaux accentuent la régularité de l'architecture de cette scène paysagère. Le verger-roseraie L'espace allie jardin d'utilité et jardin d'agrément. Les pommiers et les poiriers sont soit taillés selon des formes géométriques, soit laissés en port libre pour évoquer les cultures de plein vent. Au mois de juin, les arbres fruitiers sur lesquels s'enroulent des rosiers grimpants et les tonnelles se couvrent de roses. L'étude des autochromes issus des collections du musée a permis une restauration en 1989 et la réintroduction de variétés anciennes. Le palmarium ou le jardin d'hiver La partie centrale de ce bâtiment, construit à la fin du XIXe, sert de jardin d'hiver orné de plantes exotiques. Magnifique ouvrage de ferronnerie et de verre, cette serre est doublée à l'intérieur d'un treillage peint en blanc. Deux serres latérales en forme de dos-d'âne (détruites vers 1914) abritaient entre autres une culture de chrysanthèmes. Le jardin anglais Depuis la balustrade en pierre du jardin français, on découvre la pelouse aux lignes courbes et arrondies d'un jardin naturel créé en 1895. Une rivière serpente en bordure de la pelouse pour terminer son parcours dans un bassin surmonté d'une rocaille et d'un pont en ciment reproduisant les formes du bois. Alors qu'au centre le gazon est très entretenu, sur les pourtours des plantes à bulbes s'épanouissent plus librement. En automne, le jardin se teinte d'or grâce aux deux ginkgos biloba centenaires. La forêt vosgienne Cette forêt est une évocation des paysages montagneux de l'enfance d'Albert Kahn. Elle reproduit sur 3 000 m2 une forêt qui, dans les Vosges, occupe 800 000 hectares. Blocs de granit, épicéas verts mêlés de charmes, hêtres, noisetiers et chênes évoquent le versant lorrain des Vosges. Dans un décor de grès rose, pins sylvestres, pins noirs, chênes sessiles et hêtres évoquent, eux, le versant alsacien. Les dégâts de la tempête de 1999 ont été l'occasion d'une restauration complète de cet espace par le conseil général. Le marais Sous la forêt bleue, avec leurs espèces aquatiques (nénuphars, massettes, prêles, iris d'eau…), les deux pièces d'eau évoquent un marais. La composition de cette parcelle fait la part belle à la recherche du naturel. La prairie et la forêt dorée Dans la prairie, la priorité est donnée aux couleurs et aux formes végétales. La forêt dorée en bordure de la prairie doit son nom aux bouleaux, qui prennent en automne une teinte jaune et or très lumineuse et aux pousses printanières des épicéas. La forêt bleue Les couleurs des cèdres de l'Atlas et des épicéas du Colorado ont donné son nom à cet espace. Ces conifères forment toute l'année un rideau végétal bleuté et épais ponctué de rhododendrons et d'azalées. Les arbres avaient beaucoup grandi depuis 1899, date de création de ce jardin. Une restauration a été entreprise dans les années 1990 avec la replantation de jeunes conifères. La tempête de 1999 a mis à terre de nombreux arbres. Les plantations qui ont suivi ont permis à l'écran bleu conçu par Albert Kahn de retrouver sa densité. |
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